Breizh Kiss sur France 3

Breizh Kiss, la nouvelle série de France 3 Bretagne a débarqué sur les écrans le dimanche 12 janvier dernier. Cette série drôle et actuelle met en scène tous les dimanches à 11 heures une famille bretonnante qui voit l’arrivée de la nouvelle belle-mère ne parlant pas un mot de breton… Du reuz* en perspective !

La famille Morzhadeg vit dans une maison près de Rennes. Le père, Loig, 45 ans, divorcé, est très amoureux de sa nouvelle compagne, Mathilde, une jeune femme de 32 ans, qui, après de nombreux séjours à l’étranger vient s’installer dans la maison familiale. Loig parle naturellement breton avec ses enfants Budog et Maela, deux lycéens en pleine fleur de l’âge mais Mathilde, elle, ne parle pas le breton et c’est là que l’histoire commence à se corser…

Les 36 épisodes seront diffusés à raison d’un par semaine, tous les dimanches à 11h50.

Une déclinaison pédagogique sur le web vient compléter l’offre du programme sur le web. En partenariat avec Edubreizh, créateur de cours de breton sur internet, France 3 Bretagne propose de s’initier à la langue bretonne sur son site web. A chaque fin d’épisode, les téléspectateurs et internautes pourront ainsi découvrir les mots, les genres et les pluriels utilisés par les personnages.

En savoir plus : Site web de France 3

*reuz : bazar

Le premier épisode :

3e épisode des « Clichés bretons » : Nantes en Bretagne ?

A l’heure où le débat sur la réunification est relancé en raison des récentes déclarations du Président de la République sur le redécoupage des Régions, cette courte vidéo vous apportera quelques compléments d’informations sur le sujet.

La Loire-Atlantique est-elle en Bretagne ou pas ? À chaque fois, la question déchaîne les passions, les sondages et les manifestations… mais derrière cette question s’en cache une autre… finalement, où s’arrête et où commence la Bretagne…

Vous pourrez constater que la frontière n’a eu de cesse de bouger… et bougera encore !

N’hésitez pas à la diffuser sur vos différents sites !

Le documentaire « Quand le bilinguisme ouvre des portes » est en vente !

Le film Quand le bilinguisme ouvre des portes, réalisé par Anne Jochum et coproduit par Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù avec les productions Préparons demain et en partenariat avec Div Yezh, est en vente. Vous pouvez vous le procurer auprès de BCD / Sevenadurioù au prix de 12 € (ajouter 7 € de frais de port) uniquement pour les particuliers, pour cela contactez-nous. Pour les associations ou structures, contactez les productions Préparons demain.

Qu’est-ce que le bilinguisme ? Aujourd’hui, alors que la moitié de la planète vit dans un univers bilingue (ou plurilingue), élever son enfant dans cette réalité pose toujours question. Comment partager une langue avec un enfant ? Comment l’enfant structure-t-il l’arrivée de ses 2 langues ? Peut-il y avoir confusion ? Pourquoi ne répond-il pas dans la langue utilisée dans la question ? Et à l’école, en classe bilingue, l’enfant peut-il se débrouiller si les parents ne parlent pas cette langue ? Pourquoi lui transmettre une langue dont il ne se servira peut-être pas au quotidien ? Y a-t-il des langues de coeur ?

Le psycholinguiste, François Grosjean, nous apporte une précieuse lumière sur les nombreuses interrogations qui entourent la réalité des familles bilingues. Ses interventions, alternées avec celles du sociologue Ronan Le Coadic et de parents avec des profils et origines variés (turque, malgache, bretonne, portugaise…) nous permettent de pouvoir comprendre un peu mieux comment l’enfant s’organise pour gérer si bien ces différentes informations.

Intervenants :

– François Grosjean, Professeur Emérite en Psycholinguisme, Université Neuchâtel
– Ronan Le Coadic, Sociologue, Professeur en Culture et Langue bretonne, Rennes 2
– Armelle Le Coz, Directrice d’école, breton/français, Plomeur
– Guillaume Morvan, Enseignant breton/français, Saint-Brieuc
– Yannig Robin, Puériculteur, à l’origine de Divskouarn

En bonus :

– interview autour des mythes du bilinguisme
– interview autour de l’approche 1 personne/1 langue
– interview sur les apports cognitifs reliés au bilinguisme
– « Remi, histoire d’un parent bretonnant »
– « Katell et Tangi, témoignage sur les grands-parents »
– « Katell et Tangi, témoignage sur la transmission aux enfants »

Beau lancement pour la web série des Clichés Bretons

La websérie « Clichés bretons » que BCD co-produit avec LB Krouiñ rencontre un beau succès. Plus de 4 200 visionnages de l’épisode sur le Gwenn ha Du ont été comptabilisés depuis sa mise en ligne et un démarrage sur les chapeaux de roues pour le second épisode sur les coiffes bretonnes, avec plus de 1 000 lectures dès le premier jour !

Clichés bretons est une série de 12 épisodes de 2 minutes qui a pour objectif de répondre à des questions que l’on peut se poser sur la Bretagne, en tordant le cou, avec humour et rigueur, à certaines idées reçues : Nantes est-elle en Bretagne ? Le Gwenn ha Du est-il traditionnel ? Quelles sont les origines des coiffes bretonnes ? Pleut-il toujours en Bretagne ?…

BCD et LB ont allié leurs savoir-faire et leurs talents pour coproduire ce programme au concept innovant ! La série sera diffusée à raison d’un épisode par mois via le site de Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù : www.bcdiv.org et relayée via les réseaux sociaux. Proposés en français, les épisodes seront disponibles en breton courant de l’année 2014.

Depuis sa mise en ligne, la série est allègrement partagée via les réseaux sociaux, et des structures comme celle du stade rennais ont même intégré certains épisodes sur leur site web !

Les deux premiers épisodes sont déjà visibles : « Le Gwenn ha Du » et « Les coiffes bretonnes ». Ils sont disponible sur différentes plateformes vidéos (vimeo et youtube), sur les réseaux sociaux et surtout sur le site web de BCD sur la chaîne vidéo qui lui est consacrée : Clichés bretons.

Episode1 – Le Gwenn ha Du from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Présent dans les stades jusqu’aux manifestations, le Gwenn ha Du est devenu un symbole fort pour tous les bretons. Ce drapeau est aujourd’hui tellement célèbre et populaire que beaucoup s’imaginent que c’est un drapeau traditionnel… Vrai ou faux ? La réponse en image !
Co-production Bretagne Culture Diversité & LB Krouiñ.

Episode2 – Coiffes bretonnes from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Elle est devenue ces dernières années l’un des symboles de la Bretagne, au même titre que le triskell ou l’hermine : c’est la coiffe bretonne… au point qu’elle est aujourd’hui partout : sur les T shirts, les autocollants de voiture, les emballages de gâteaux, les bouteilles de cidre et même les sous-vêtements… De là à penser que toutes les Bretonnes portaient cette coiffe en Bretagne, il n’y a qu’un pas…

La presse en parle :


Clichés bretons. La websérie qui fait le buzz par Letelegramme

Réécoutez l’émission du lundi 2 décembre dernier « Des clics et des claques » d’Europe 1 où la première partie de l’émission est consacrée à la websérie :

Documentaire – Pa guzh an heol (Quand le soleil se couche)

« Bali Breizh », l’émission en langue bretonne de France 3 Bretagne, diffusera le nouveau documentaire de Ronan Hirrien Pa guzh an heol (Quand le soleil se couche), le dimanche 15 décembre 2013 à 11h00.

Nous sommes au couchant d’un monde où tout se chantait. En Bretagne comme ailleurs en Europe, on chante de moins en moins, car on préfère écouter de « vrais chanteurs » et des chansons courtes, partout, à la radio, sur son iPod, en voiture, dans les magasins… Mais depuis quand ce monde chanté s’efface-t-il ? Depuis la fin de la transmission familiale du chant lorsque radio et télé ont proposé leurs histoires ? Depuis l’invention et la diffusion de l’imprimerie ? Depuis l’invention et la diffusion de l’écriture ? Ce monde s’éteint-il vraiment ? N’est-il pas comme le soleil du solstice d’été finlandais, qui rougeoie, semble disparaître, et au dernier moment s’éclaircit et brille de plus belle ? Depuis l’enfance du monde, le chant a transporté des histoires. Dans ce film, des Bretons – Yann-Fañch Kemener, Brigitte Kloareg, Loïc Jadé – et des Finlandais – Pekka Huttu-Hiltunen, Kristina Kuusisto – se font les héritiers des premiers collecteurs romantiques du début du XIXe siècle. À leur tour, ils transmettent cette mémoire chantée. Sur scène, à l’école, en famille, le chant lie, forme et oriente encore des individus et de nouvelles générations.

Bécédia – Retour sur la session de Rennes du 8 novembre dernier

Une société sans fête est-elle possible ? C’est pour apporter des éléments de réponse que Bretagne Culture Diversité avait convié Laurent-Sébastien Fournier, anthropologue, Christophe Moreau, sociologue, et Glenn Jegou, directeur artistique de Yaouank.

Les différents contenus de cette conférence (enregistrement, diaporamas…) seront très bientôt disponibles sur notre site Internet.

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Le Gwenn ha Du – premier épisode de la web série « Clichés bretons »

Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù et LB Krouiñ ont le plaisir de co-produire  la web-série « Clichés bretons », une série de 12 films de 2 minutes par an qui répondront à des questions sur la Bretagne tout en tordant le cou à certains clichés… Une foire aux questions (FAQ) sur notre région en quelque sorte. Par exemple : Nantes est-elle en Bretagne ? La prononciation du breton, D’où vient le Gwenn ha Du, Quelles sont les origines des coiffes bretonnes…

Premier épisode sur le Gwenn ha Du :

Episode1-Gwenn ha du from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Coup de jeune sur le patrimoine

Comment rendre les jeunes acteurs de leur découverte du patrimoine ? Une manifestation nationale pour échanger sur les actions à imaginer, le 15 novembre prochain aux Champs libres à Rennes.

Élu-e, collectivité, acteur-trice du territoire, association, professionnel-le du développement local, du patrimoine ou de la culture, du tourisme ou de la pédagogie, vous êtes amené-es à concevoir et organiser des actions autour du patrimoine ou de la jeunesse? Participez à la rencontre nationale organisée par la Région Bretagne et contribuez à ouvrir de nouvelles pistes d’action  !

Cette journée trouve son origine dans une démarche expérimentale menée par la Région Bretagne pour placer le jeune public au cœur de sa propre découverte du patrimoine : grâce à un appel à projets pluriannuel (2009-2011), la collectivité régionale a sélectionné et accompagné une quarantaine d’actions très diverses. Elle poursuit depuis son soutien aux projets pédagogiques innovants.

Imaginer de nouvelles actions

La rencontre « Coup de jeune sur le patrimoine ! » ambitionne d’aller bien aller au-delà : une  occasion de découvrir des expériences et méthodes originales imaginées en Bretagne, mais aussi des actions testées à l’échelle nationale et internationale. Elle offrira aussi l’opportunité de nous interroger sur nos pratiques et d’échanger autour d’une notion, le patrimoine, en constante évolution.

Pratique : le 15 novembre aux Champs-Libres à Rennes.

[Télécharger le programme].

Inscriptions sur le site de la Région Bretagne.

Pourquoi les Bonnets rouges ?

Retrouvez ici un texte proposé par Gautier Aubert  sur les révoltes dites du papier timbré et des bonnets rouges :


Les révoltes dites du Papier timbré et des Bonnets rouges (1675)

Extrait d'un des premiers actes produit sur papier timbré à Quimperlé.
Extrait d’un des premiers actes produit sur papier timbré à Quimperlé.

En 1674, Louis XIV, est obligé de prélever de nouveaux impôts pour financer la guerre de Hollande. Au printemps de l’année suivante, ces mesures entrainent des soulèvements populaires en Haute et Basse Bretagne. Le duc de Chaulnes, gouverneur de la province exerce une répression relativement modérée marquée par l’arasement de clochers en Cornouaille et le transfert du parlement de Bretagne de Rennes à Vannes.

En Haute-Bretagne une révolte urbaine

Le 18 avril 1675 éclate à Rennes une violente révolte contre la mise en place du monopole sur la vente du tabac. Elle débouche rapidement sur une remise en cause de toutes les nouveautés fiscales récemment établies pour financer la guerre de Hollande (1672-1678), en particulier la taxe sur le papier timbré. Dans les jours qui suivent, des secousses secondaires apparaissent à Saint-Malo (19 avril), Nantes (22 avril, 3 mai) et Guingamp (20 mai). Partout, les émeutiers réclament le même régime qu’à Bordeaux où, au terme de trois jours d’émeutes très violentes (27-29 mars), le pouvoir a accepté de retirer toute une série d’impôts.

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L’injustice de JB Chalette

Allégorie de la révolte du papier timbré
L’impôt est représenté sous la forme d’un char conduit par un diable, sur lequel se trouve le duc de Chaulnes (gouverneur de Bretagne). A droite, les allégories de la Justice et la Paix détournent le regard. A gauche, la ville de Rennes est envahie par les flammes de l’Enfer.Plus d’infos sur www.histoire-image.org

Réaction des autorités

Craignant une contagion au reste du pays, où des signes inquiétants se font jour, le roi décide cette fois de ne pas céder. L’envoi de quelques troupes en Bretagne est décidé début mai pour punir les révoltés. La peur créée par cette annonce incite les autorités locales à sévir, afin d’éviter la venue indésirable des soldats. Un homme est pendu à Nantes, ainsi qu’une femme à Guingamp. A Rennes, qui a connu une reprise des troubles (le 25 avril), l’arrivée d’une centaine de soldats le 8 juin provoque une révolte civique de défense des privilèges de la ville. Les soldats sont obligés de repartir, et les autorités (le gouverneur de la Bretagne le duc de Chaulnes, le Parlement) doivent rendre à la foule les prisonniers faits les semaines précédentes. Chaulnes, humilié par la rue rennaise, ne parvient à ramener le calme que contre des promesses que les soldats ne reviendront pas et d’arrangements fiscaux. La ville reste néanmoins agitée et le bureau du papier timbré est à nouveau attaqué le 17 juillet, mais l’émeute fait cette fois long feu.

Une révolte en Basse-Bretagne

Dans le même temps, la contestation gagne les campagnes du Sud-Ouest et de Cornouaille : la prompte intervention de l’armée met fin aux troubles en Guyenne, mais l’absence de réaction en Bretagne permet au mouvement de s’étendre et de déborder sur le Léon, le Trégor et le Vannetais. Ceux que l’on appellera bientôt « les bonnets rouges » s’en prennent comme en ville aux nouveaux impôts et profitent en outre du rapport de force favorable pour obtenir des seigneurs des aménagements de rentes. Quelques châteaux et presbytères sont pillés. Le 2 juillet, les révoltés du pays bigouden proclament l’abolition des impôts nouveaux et des abus seigneuriaux dans un texte resté célèbre sous le nom de « code paysan ».

L’intervention militaire

Vers Carhaix, l’attaque du puissant château de Kergoët (11 juillet) provoque un choc chez les autorités qui espéraient jusque-là calmer la révolte sans recourir à la force. C’est alors que Chaulnes demande à Louis XIV l’envoi de troupes. Dans le même temps, de mystérieux députés bretons sont signalés à La Haye. Pour prévenir une possible intervention hollandaise, environ 5 000 militaires sont dépêchés. La simple annonce de leur arrivée pousse les communautés à se soumettre, voire à livrer les coupables, la grâce étant promise à ceux qui déposeraient les armes. Le notaire Le Balp, chef du groupe des insurgés de Carhaix, songe à affronter l’armée, mais il est assassiné. La troupe ne rencontre donc pas de « bonnets rouges », qui préfèrent se disperser et se cacher. Quelques individus sont néanmoins exécutés ou envoyés aux galères, tandis que le corps de Le Balp est exhumé pour être supplicié. Des clochers du pays bigouden sont arasés. La répression reste pourtant modérée pour des raisons qui peuvent tenir autant à l’exigence de miséricorde qu’à l’intérêt : dans cette Basse-Bretagne sous-militarisée, les autorités comptent sur les paysans pour servir en cas de tentative hollandaise de surprendre Brest.

Chapelle décapitée de Languivoa
Chapelle décapitée de Languivoa

Rennes, ville punie

C’est à Rennes, où il entre le 12 octobre, que Chaulnes est le plus rude. Plusieurs membres des milices bourgeoises, qui ont pris les armes sans ordre, ou contre les ordres, sont exécutés, afin de montrer que l’usage de la force ne peut se faire sans l’aval du pouvoir royal. Le faubourg jugé le plus turbulent est évacué. La ville en son entier est punie par le transfert du parlement à Vannes. Rennes perd 20% de sa population. Aux Etats de Bretagne, le roi est intraitable sur la question fiscale, mais sait aussi se faire arrangeant pour les notables grâce auxquels il tient la province. La Bretagne n’évite pas la venue en quartiers d’hiver des soldats, auxquels on prête les plus noires exactions. En février, une amnistie est proclamée, qui exclue néanmoins plusieurs dizaines d’individus trop compromis et encore recherchés, signe tant de la dureté de l’Etat Louis XIV que de son impuissance à sévir. Dès lors, et comme partout en France, la contestation fiscale, sans disparaître, se fait désormais discrète…

Gauthier Aubert

Gautier Aubert est Maître de Conférences à l’université de Rennes II. Moderniste, il a soutenu sa thèse à Rennes sur Le président de Robien, gentilhomme et savant dans la Bretagne des Lumières.

Bibliographie

AUBERT Gauthier, Les révoltes du Papier timbré (1675). Essai d’histoire événementielle, Rennes, PUR (à paraître en février 2014)

BERENGER Jean, « La révolte des Bonnets rouges et l’opinion internationale », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, tome LXXXII, no 4, 1975, p. 443-458

CROIX Alain, « La révolte des Bonnets rouges. De l’histoire à la mémoire », ArMen, n°131, novembre-décembre 2002

DUIGOU Serge, La Révolte des Bonnets rouges en pays bigouden, Quimper, éditions Ressac, 1989

GARLAN Yvon et NIERES Claude, Les Révoltes bretonnes. Rébellions urbaines et rurales au XVIIe siècle, Toulouse, éditions Privat, 2004

PORCHNEV Boris, LA BORDERIE Arthur de, Les Bonnets rouges – L’insurrection bretonne de 1675, Yoran Embanner, 2011 (réédition de 1975 UGE collection 10/18)

Pour resituer un cadre plus général :

CHALINE Olivier, Le règne de Louis XIV, Paris, Flammarion, 2005

COLLINS James B., La Bretagne dans l’Etat royal. Classes sociales, Etats provinciaux et ordre public de l’Edit d’Union à la révolte des Bonnets rouges, Rennes, PUR, 2006

CROIX Alain, L’Âge d’or de la Bretagne, 1532-1675, Rennes, Éditions Ouest-France, 1993

NICOLAS Jean, La Rébellion française. Mouvements populaires et conscience sociale (1661-1789), Paris, Seuil, 2002.

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Pour en savoir plus, consultez le dossier « Bonnets rouges, une révolte rurale en Bretagne (1675) » sur la web TV de l’enseignement supérieur de l’Université Rennes 2.

Présentation de BCD sur France 3

Ronan Le Coadic, Président de Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù était l’invité de l’émission Bali Breizh de France 3 le dimanche 27 octobre. Retrouvez le programme dans son intégralité :


Bali Breizh – Sul 27 a viz Here – VOST par france3Bretagne