Bretania sur les réseaux sociaux

Bretania est présent sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter !

Une nouvelle publication sera postée tous les jours :

  • Lundi : À la une de la presse : découvrez ce qui faisait la une de la presse il y a plusieurs dizaines d’années !
  • Mardi : Découvrez l’énigme de la semaine et tentez d’y répondre grâce à Bretania.
  • Mercredi : L’actualité d’un contributeur sera relayée.
  • Jeudi : Un document ou un personnage issu du fonds des contributeurs sera mis en avant.
  • Vendredi : La réponse à l’énigme sera dévoilée !

Pour suivre bretania, rien de plus simple :

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Il pleut toujours en Bretagne… Cliché ou réalité ?

Le temps qu’il a fait cet hiver en Bretagne ne va pas arranger les choses, mais le cliché « il pleut toujours en Bretagne » a la vie dure… et il colle à la peau comme un bon crachin !

Alors, vrai ou faux ? Le volume des précipitations à Brest est-il inférieur ou supérieur à celui de Biarritz ? Et le mythe des quatre saisons en une journée : cliché ou réalité ?

Toutes ces questions sont traitées dans le cinquième épisode de la web-série « Clichés bretons » coproduite par BCD, LB Krouiñ et l’Unité de programmes des télévisions locales de Bretagne.

Rendez-vous sur la chaîne vidéo des clichés bretons sur le site de BCD.

Episode 5 – La météo en Bretagne from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Une seule et même porte d’entrée pour 350 000 documents : www.bretania.fr

Donner à voir et à comprendre la Bretagne et son histoire, dans toute sa diversité : c’est là toute l’ambition de Bretania, le tout nouveau Portail des cultures de Bretagne (www.bretania.fr). Initié par la Région Bretagne et animé par l’association Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù, il a été lancé officiellement le 14 février à Lorient, en présence de Jean-Michel Le Boulanger, vice-président du Conseil régional à la culture, et Ronan Le Coadic, Président de BCD.

Véritable porte d’entrée ouvrant sur toutes les ressources culturelles et patrimoniales de la région, Bretania s’appuie à ce jour sur un réseau d’une dizaine de contributeurs (le CRBC, Cartolis, la Cinémathèque de Bretagne, Dastum, la Dépêche de Brest, l’INA Atlantique, le service de l’inventaire du Conseil régional, la bibliothèque numérique de l’Université de Rennes 2, la bibliothèque de Rennes Métropole, le KDSK). Partenaires du portail, ils ont réuni leurs fonds sonores ou visuels, collectés de longue date et déjà numérisés, pour mettre aujourd’hui à disposition du public un ensemble d’environ 350 000 documents numériques, enrichi de contenus éditoriaux.

Quels contenus ?

Depuis les enluminures du Moyen-Âge jusqu’aux articles de presse d’avant-guerre, en passant par les premières cartes postales du début du xxe siècle, la matière culturelle bretonne est immense. Bretania reflète cette richesse documentaire, proposée sous de multiples formes : sons, vidéos, images ou textes.

  • les archives du patrimoine oral, via l’association Dastum, offrent des ressources sonores et visuelles exceptionnelles, collectées depuis de longues années : chansons, musiques, contes, légendes, récits et témoignages ;
  • les inventaires patrimoniaux et architecturaux : le service de l’inventaire du Conseil régional y présente les notices réalisées sur le patrimoine bâti et le mobilier remarquable de Bretagne ;
  • les archives de la presse : la Dépêche de Brest, ancêtre du Télégramme, propose l’ensemble des articles publiés entre 1886 et 1944 ;
  • les archives audiovisuelles : la Cinémathèque de Bretagne mais aussi l’INA Atlantique constituent peu à peu la mémoire collective audiovisuelle de la région ;
  • les fonds d’iconographies, cartes, plans, manuscrits et autres livres rares : Cartolis, base de données du Cartopôle de Baud, propose par exemple 70 000 cartes postales anciennes de notre région.
  • Et aussi les bulletins des sociétés savantes, les fonds issus de la recherche universitaire (Rennes 2), les collections des musées, les Tablettes Rennaises de la bibliothèque numérique de Rennes Métropole, les fonds documentaires du KDSK et du centre de ressources bretonnes et celtiques (CRBC).

Un puissant moteur de recherche donnant accès à plusieurs bases de données

L’enjeu majeur de cette médiathèque du xxie siècle : permettre à tous de s’approprier ces éléments de la mémoire collective de Bretagne, pour mieux la comprendre, la transmettre et la réinventer.

Pour l’usager, il suffira de quelques clics et mots-clés sur www.bretania.fr pour accéder, via le moteur de recherche, à une matière jusqu’ici dispersée sur le Web au sein des bases de données des différents contributeurs.

Pour les partenaires qui, au fil de longues années de collectage et de numérisation, ont su conserver vivante la mémoire collective bretonne, le portail a l’avantage de mettre en avant leurs fonds tout en favorisant des visites plus approfondies sur leurs propres sites, que chacun continuera de gérer.

L’intérêt de Bretania est aussi d’avoir, en accord avec les contributeurs, enrichi les documents dits « primaires » de contenus éditoriaux (dossiers thématiques, frises, cartes, vidéos…) permettant au public de mieux décrypter les ressources mises à disposition. C’est là une part importante du travail de BCD.

Une médiathèque vivante et évolutive, appelée à s’enrichir

À l’avenir, pas question que Bretania en reste là : il s’agit d’un portail bien vivant qui sera complété, au fil du temps, de nouveaux apports et contributeurs, amenés progressivement à travailler en réseau.

L’équipe de Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù a aussi pour mission d’aller à la rencontre des détenteurs de données pour leur proposer un partenariat qui leur permettra de valoriser leur fonds, via le portail régional.

Parallèlement, BCD travaille à la diffusion du contenu du portail au sein d’autres sites, nationaux (Gallica) et internationaux (Européana), pour que cette matière bretonne circule librement sur la toile et dans le monde.

Devenir contributeur

Vous êtes une association, une structure publique ou privée détentrice de documents relatifs à la matière culturelle de Bretagne ?

Même si vos documents ne sont pas numérisés ou accessibles en ligne, l’équipe de Bretagne Culture Diversité étudiera avec vous les solutions pour mettre en valeur votre travail.

De nombreuses structures se sont déjà manifestées pour faire partie de ce projet ambitieux.

N’hésitez pas à nous contacter pour rejoindre le réseau des contributeurs !

Le 14 février, vous avez rendez-vous avec la Bretagne !

Lancement du Portail des cultures de Bretagne

Plus de 350 000 documents disponibles en quelques clics.

Donner accès, depuis une même porte d’entrée, à toute la matière culturelle et patrimoniale numérisée de Bretagne : c’est l’ambition que la Région et ses partenaires nourrissaient depuis plusieurs années. L’objectif est aujourd’hui atteint : photographies, films, archives de presse, cartes mais aussi fonds sonores, contés ou chantés sont désormais réunis pour permettre la (re)découverte de ce formidable patrimoine des cultures populaires de Bretagne, dans toute leur diversité.

Chargée par la Région d’animer ce nouveau portail, l’association Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù proposera un accès direct à cette vaste matière jusque-là disséminée sur le Web, mais aussi à ses propres contenus éditoriaux (dossiers, articles, vidéos…), permettant à chacun de mieux s’approprier les ressources mises à disposition. L’ensemble s’appuie sur le travail de nombreux contributeurs (l’association Dastum, la Cinémathèque de Bretagne, le Cartopôle de Baud…) qui, au fil de longues années de collectage et de numérisation, ont enrichi cette mémoire collective. Le Portail a pour vocation de mettre en valeur ces fonds, d’en faciliter la compréhension, tout en favorisant des visites plus approfondies sur les sites de chacun des contributeurs.

Une médiathèque vivante et évolutive

L’enjeu majeur est de rendre ces éléments du patrimoine des Bretonnes et des Bretons plus accessibles et connus en Bretagne mais aussi dans le monde, depuis des bibliothèques numériques nationales (Gallica) ou européennes (Europeana), favorisant ainsi le rayonnement de nos cultures populaires sur la toile.

Pas question par ailleurs que cette médiathèque du xxie siècle en reste là : il s’agit d’un portail bien vivant qui s’enrichira au fur et à mesure de nouveaux apports et de contributeurs.

Portail des cultures de Bretagne, ouverture le 14 février 2014 from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Comment fonctionne le Portail des cultures de Bretagne ?

Le portail des cultures de Bretagne ouvrira ses portes le 14 février prochain. Plus de 350 000 documents seront ainsi disponibles en quelques clics !

Cette vidéo vous explique le fonctionnement du Portail des cultures de Bretagne, du document primaire au signalement. Prenons l’exemple d’un précieux parchemin du XVème siècle conservé par un contributeur.

Le portail des cultures de Bretagne : comment contribuer ? from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

A voir également :

Qui contribue au Portail des cultures de Bretagne ?

Pourquoi contribuer au Portail des cultures de Bretagne ?

Portail des cultures de Bretagne, ouverture le 14 février 2014. Pourquoi contribuer ?

Le portail des cultures de Bretagne est une porte d’entrée aux ressources culturelles et patrimoniales de la région, qui s’appuie sur un important réseau d’acteurs. Il ouvrira ses portes le 14 février prochain.

L’intérêt de devenir contributeur

Le portail des cultures de Bretagne : Pourquoi contribuer ? from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Porté par la Région Bretagne et animé par l’association Bretagne Culture Diversité, il a pour objet d’offrir une meilleure visibilité et de permettre une meilleure valorisation des fonds culturels et patrimoniaux numérisés.

Devenir contributeur du portail, c’est :

  • Offrir plus de visibilité à vos documents et travaux
  • Générer davantage de trafic sur votre site Internet
  • Contribuer collectivement à un véritable projet éditorial
  • Trouver des partenariats et des opportunités de nouveaux projets en favorisant les échanges
  • Participer à la dynamique d’une communauté autour de l’ingénierie documentaire et du numérique
  • S’ouvrir aux bibliothèques numériques nationales et internationales

Portail des cultures de Bretagne, ouverture le 14 février 2014. Qui peut y contribuer ?

Le portail des cultures de Bretagne est une porte d’entrée aux ressources culturelles et patrimoniales de la région, qui s’appuie sur un important réseau d’acteurs. Il ouvrira ses portes le 14 février prochain.

Porté par la Région Bretagne et animé par l’association Bretagne Culture Diversité, il a pour objet d’offrir une meilleure visibilité et de permettre une meilleure valorisation des fonds culturels et patrimoniaux numérisés.

Tout ou partie de ces fonds doit être directement accessible au public, en ligne, sans condition.

Qui contribue à la richesse de ce portail ? Qui peut devenir contributeur ? La réponse en image :

Portail des Cultures de Bretagne : qui peut y contribuer ? from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

La bibliothèque numérique de l’université de Rennes II rejoint le portail des cultures de Bretagne

Les fonds numérisés de la bibliothèque numérique seront valorisés à travers le moteur de recherche et les dossiers thématiques. Elle présente notamment en ligne 41 cahiers manuscrits d’Añjela Duval, ainsi qu’un riche corpus de documents relatifs à la langue, la littérature et la civilisation celtiques. Pour plus d’information, consultez le site de la bibliothèque numérique de Rennes II : http://bibnum.univ-rennes2.fr

Pourquoi les Bonnets rouges ?

Retrouvez ici un texte proposé par Gautier Aubert  sur les révoltes dites du papier timbré et des bonnets rouges :


Les révoltes dites du Papier timbré et des Bonnets rouges (1675)

Extrait d'un des premiers actes produit sur papier timbré à Quimperlé.
Extrait d’un des premiers actes produit sur papier timbré à Quimperlé.

En 1674, Louis XIV, est obligé de prélever de nouveaux impôts pour financer la guerre de Hollande. Au printemps de l’année suivante, ces mesures entrainent des soulèvements populaires en Haute et Basse Bretagne. Le duc de Chaulnes, gouverneur de la province exerce une répression relativement modérée marquée par l’arasement de clochers en Cornouaille et le transfert du parlement de Bretagne de Rennes à Vannes.

En Haute-Bretagne une révolte urbaine

Le 18 avril 1675 éclate à Rennes une violente révolte contre la mise en place du monopole sur la vente du tabac. Elle débouche rapidement sur une remise en cause de toutes les nouveautés fiscales récemment établies pour financer la guerre de Hollande (1672-1678), en particulier la taxe sur le papier timbré. Dans les jours qui suivent, des secousses secondaires apparaissent à Saint-Malo (19 avril), Nantes (22 avril, 3 mai) et Guingamp (20 mai). Partout, les émeutiers réclament le même régime qu’à Bordeaux où, au terme de trois jours d’émeutes très violentes (27-29 mars), le pouvoir a accepté de retirer toute une série d’impôts.

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L’injustice de JB Chalette

Allégorie de la révolte du papier timbré
L’impôt est représenté sous la forme d’un char conduit par un diable, sur lequel se trouve le duc de Chaulnes (gouverneur de Bretagne). A droite, les allégories de la Justice et la Paix détournent le regard. A gauche, la ville de Rennes est envahie par les flammes de l’Enfer.Plus d’infos sur www.histoire-image.org

Réaction des autorités

Craignant une contagion au reste du pays, où des signes inquiétants se font jour, le roi décide cette fois de ne pas céder. L’envoi de quelques troupes en Bretagne est décidé début mai pour punir les révoltés. La peur créée par cette annonce incite les autorités locales à sévir, afin d’éviter la venue indésirable des soldats. Un homme est pendu à Nantes, ainsi qu’une femme à Guingamp. A Rennes, qui a connu une reprise des troubles (le 25 avril), l’arrivée d’une centaine de soldats le 8 juin provoque une révolte civique de défense des privilèges de la ville. Les soldats sont obligés de repartir, et les autorités (le gouverneur de la Bretagne le duc de Chaulnes, le Parlement) doivent rendre à la foule les prisonniers faits les semaines précédentes. Chaulnes, humilié par la rue rennaise, ne parvient à ramener le calme que contre des promesses que les soldats ne reviendront pas et d’arrangements fiscaux. La ville reste néanmoins agitée et le bureau du papier timbré est à nouveau attaqué le 17 juillet, mais l’émeute fait cette fois long feu.

Une révolte en Basse-Bretagne

Dans le même temps, la contestation gagne les campagnes du Sud-Ouest et de Cornouaille : la prompte intervention de l’armée met fin aux troubles en Guyenne, mais l’absence de réaction en Bretagne permet au mouvement de s’étendre et de déborder sur le Léon, le Trégor et le Vannetais. Ceux que l’on appellera bientôt « les bonnets rouges » s’en prennent comme en ville aux nouveaux impôts et profitent en outre du rapport de force favorable pour obtenir des seigneurs des aménagements de rentes. Quelques châteaux et presbytères sont pillés. Le 2 juillet, les révoltés du pays bigouden proclament l’abolition des impôts nouveaux et des abus seigneuriaux dans un texte resté célèbre sous le nom de « code paysan ».

L’intervention militaire

Vers Carhaix, l’attaque du puissant château de Kergoët (11 juillet) provoque un choc chez les autorités qui espéraient jusque-là calmer la révolte sans recourir à la force. C’est alors que Chaulnes demande à Louis XIV l’envoi de troupes. Dans le même temps, de mystérieux députés bretons sont signalés à La Haye. Pour prévenir une possible intervention hollandaise, environ 5 000 militaires sont dépêchés. La simple annonce de leur arrivée pousse les communautés à se soumettre, voire à livrer les coupables, la grâce étant promise à ceux qui déposeraient les armes. Le notaire Le Balp, chef du groupe des insurgés de Carhaix, songe à affronter l’armée, mais il est assassiné. La troupe ne rencontre donc pas de « bonnets rouges », qui préfèrent se disperser et se cacher. Quelques individus sont néanmoins exécutés ou envoyés aux galères, tandis que le corps de Le Balp est exhumé pour être supplicié. Des clochers du pays bigouden sont arasés. La répression reste pourtant modérée pour des raisons qui peuvent tenir autant à l’exigence de miséricorde qu’à l’intérêt : dans cette Basse-Bretagne sous-militarisée, les autorités comptent sur les paysans pour servir en cas de tentative hollandaise de surprendre Brest.

Chapelle décapitée de Languivoa
Chapelle décapitée de Languivoa

Rennes, ville punie

C’est à Rennes, où il entre le 12 octobre, que Chaulnes est le plus rude. Plusieurs membres des milices bourgeoises, qui ont pris les armes sans ordre, ou contre les ordres, sont exécutés, afin de montrer que l’usage de la force ne peut se faire sans l’aval du pouvoir royal. Le faubourg jugé le plus turbulent est évacué. La ville en son entier est punie par le transfert du parlement à Vannes. Rennes perd 20% de sa population. Aux Etats de Bretagne, le roi est intraitable sur la question fiscale, mais sait aussi se faire arrangeant pour les notables grâce auxquels il tient la province. La Bretagne n’évite pas la venue en quartiers d’hiver des soldats, auxquels on prête les plus noires exactions. En février, une amnistie est proclamée, qui exclue néanmoins plusieurs dizaines d’individus trop compromis et encore recherchés, signe tant de la dureté de l’Etat Louis XIV que de son impuissance à sévir. Dès lors, et comme partout en France, la contestation fiscale, sans disparaître, se fait désormais discrète…

Gauthier Aubert

Gautier Aubert est Maître de Conférences à l’université de Rennes II. Moderniste, il a soutenu sa thèse à Rennes sur Le président de Robien, gentilhomme et savant dans la Bretagne des Lumières.

Bibliographie

AUBERT Gauthier, Les révoltes du Papier timbré (1675). Essai d’histoire événementielle, Rennes, PUR (à paraître en février 2014)

BERENGER Jean, « La révolte des Bonnets rouges et l’opinion internationale », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, tome LXXXII, no 4, 1975, p. 443-458

CROIX Alain, « La révolte des Bonnets rouges. De l’histoire à la mémoire », ArMen, n°131, novembre-décembre 2002

DUIGOU Serge, La Révolte des Bonnets rouges en pays bigouden, Quimper, éditions Ressac, 1989

GARLAN Yvon et NIERES Claude, Les Révoltes bretonnes. Rébellions urbaines et rurales au XVIIe siècle, Toulouse, éditions Privat, 2004

PORCHNEV Boris, LA BORDERIE Arthur de, Les Bonnets rouges – L’insurrection bretonne de 1675, Yoran Embanner, 2011 (réédition de 1975 UGE collection 10/18)

Pour resituer un cadre plus général :

CHALINE Olivier, Le règne de Louis XIV, Paris, Flammarion, 2005

COLLINS James B., La Bretagne dans l’Etat royal. Classes sociales, Etats provinciaux et ordre public de l’Edit d’Union à la révolte des Bonnets rouges, Rennes, PUR, 2006

CROIX Alain, L’Âge d’or de la Bretagne, 1532-1675, Rennes, Éditions Ouest-France, 1993

NICOLAS Jean, La Rébellion française. Mouvements populaires et conscience sociale (1661-1789), Paris, Seuil, 2002.

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Pour en savoir plus, consultez le dossier « Bonnets rouges, une révolte rurale en Bretagne (1675) » sur la web TV de l’enseignement supérieur de l’Université Rennes 2.

Les Tablettes Rennaises, bibliothèque numérique de Rennes Métropole, rejoint le projet

Des manuscrits du Moyen Âge aux journaux du 19e siècle, en passant par les incunables et autres livres imprimés anciens, ce sont plus de 4 500 textes et images qui vous sont proposés en ligne.

La bibliothèque numérique de Rennes sera accessible via le moteur de recherche du portail des cultures de Bretagne.