Festival International de Films « Pêcheurs du Monde »

Les pêcheurs du monde seront en tête d’affiche à Lorient du 25 au 30 mars 2014 lors de la sixième édition du Festival International de Films « Pêcheurs du Monde »

Au menu de la 6e édition de ce festival original parce que consacré uniquement aux pêcheurs, 38 films engagés et exigeants, filmés partout sur la planète. Le festival navigue à la rencontre de pêcheurs de 20 pays et propose 18 réalisations étrangères, dont certaines, d’une grande qualité esthétique et artistique, ont été sélectionnées et primées dans des festivals de films internationaux, ainsi que des inédits. 13 films sont en compétition dont 8 longs-métrages et 5 courts-métrages.

Dans les filets 2014, de véritables œuvres d’art, comme le poétique long-métrage portugais A Maē o Mar de Gonçalo Tocha, sur les dernières femmes pêcheurs du Portugal, ou le contemplatif Night Labour, des Américains David Redmon et Ashley Sabin, déjà lauréats de l’édition 2013. Le festival propose aussi de grands récits d’aventure, comme Survivre de l’Islandais Baltasar Kormakur, l’histoire vraie d’un pêcheur naufragé en pleine mer, présenté en soirée d’ouverture.

De nombreux films dénoncent la brutalité de la mondialisation, comme Il Limite de Rossella Schillaci, filmé sur un chalutier sicilien ou A River Changes Course de Kalyanee Mam, sur les effets de la déforestation et de la surpêche au Cambodge, primé au Festival de Sundance en 2013. À l’affiche de cette édition également de nombreux films courts, dont certains sont directement produits par des organismes de pêcheurs avec leur propre regard sur leur métier. Enfin, une belle sélection de documentaires français et locaux sur les enjeux sociaux et humains ainsi que sur l’impact écologique de la pêche qui seront ouverts aux débats.

Deux expositions photos accompagneront le festival : Portraits d’équipages-Port de Pêche de Lorient, de Robert Le Gall, à la gare maritime de Lorient du 10 au 22 mars, puis sur le site pendant la durée du festival, et Des hommes pour un navire, de Bernard Lagny, à l’Océanis de Ploemeur du 11 au 30 mars. L’artiste lorientaise Catherine Raoulas présentera son album photos Deep Sea réalisé sur un chalutier lorientais le vendredi 28 mars à 20 h 30.

Lieu de rencontres et d’échanges, le festival a projeté plusieurs centaines de films étrangers et français depuis sa première édition en 2008 et il a accueilli à sa dernière édition près de 2 000 spectateurs. Son port d’attache est à Lorient, la ville aux cinq ports, à la salle Paul Ricœur du lycée Dupuy de Lôme. Un jury composé de professionnels de la mer et du cinéma et un jury composé de lycéens décerneront les prix du Festival et ceux du jury « Jeune ».

Découvrez la cuvée 2014 et tous les rendez-vous sur le site Internet : http//www.pecheursdumonde.org.

Jeunes et bretons : Portrait d’une jeunesse afro-armoricaine

Vincent Paulic nous propose un regard différent sur l’identité bretonne, à travers le ressenti de ceux qu’il nomme les Afro-armoricains.

Ces jeunes qui ont un parent d’origine africaine voient souvent leur entourage retenir leur ascendance africaine plutôt que leur identité bretonne, et ce, même s’ils sont nés sur le territoire, et malgré une éducation française, voire très centrée sur la culture bretonne. Vincent Paulic traite ce paradoxe en noir et blanc « à l’image du drapeau breton », pour apporter son interprétation et sa sensibilité aux questions de l’identité, l’appartenance et le regard des autres.

Un cliché, des clichés

À la faveur de différents projets, Vincent Paulic a eu l’occasion de travailler avec de nombreuses Bretonnes métisses. Un jour, une personne l’interpella en lui demandant pourquoi il ne travaillait jamais avec des Bretonnes, lui faisant comprendre par l’un de ces gestes subtils que la couleur de leur peau était le problème. La question surprit beaucoup le photographe car la jeune femme en question – Nolwenn – était une jeune Briochine. Si elle n’était pas Bretonne, alors qu’était-elle ? Et qu’est-ce qu’être Breton finalement ? L’idée de ce projet était née.

Afin d’étoffer sa réflexion, Vincent Paulic a interrogé tous les jeunes métis bretons de son entourage pour savoir comment ils se situaient dans la société bretonne et quelle était l’ampleur du décalage entre leur identité et ce que les autres pensaient d’eux.

Il commence son travail en juillet 2013. Équipé d’un fond blanc, d’une chambre photographique 4×5 et d’un enregistreur audio, il sillonne les cinq départements de la Bretagne. Au détour des rencontres faites et des témoignages collectés, il nous donne à voir le portrait d’une jeunesse bretonne, ses souvenirs et ses réflexions quant à la culture bretonne et au regard de l’autre.

Les membres du jury lycéen Ouest-France, en partenariat avec le festival Photoreporter, ont retenu à l’unanimité ce projet novateur et audacieux sur la jeunesse et l’identité bretonne.

Déconstruire les clichés dans une perspective générationnelle

Aujourd’hui, Vincent Paulic cherche à exposer ce travail dans de nouveaux lieux afin de créer des débats autour de l’identité bretonne mais également de l’intégration, et du regard des autres.

Parallèlement, le photographe continue son investigation sans se limiter à la jeunesse. Il souhaite recueillir les témoignages d’autres générations afin d’appréhender ce qui a évolué durant ces cinquante dernières années ou ce qui, au contraire, reste identique.

On ne peut qu’être séduit par la pudeur avec laquelle le photographe vient perturber nos inconscientes représentations des Bretonnes et Bretons d’aujourd’hui.

Pour découvrir en images ce projet, rendez-vous sur le site de Vincent Paulic http://vincentpaulic.fr.

Il pleut toujours en Bretagne… Cliché ou réalité ?

Le temps qu’il a fait cet hiver en Bretagne ne va pas arranger les choses, mais le cliché « il pleut toujours en Bretagne » a la vie dure… et il colle à la peau comme un bon crachin !

Alors, vrai ou faux ? Le volume des précipitations à Brest est-il inférieur ou supérieur à celui de Biarritz ? Et le mythe des quatre saisons en une journée : cliché ou réalité ?

Toutes ces questions sont traitées dans le cinquième épisode de la web-série « Clichés bretons » coproduite par BCD, LB Krouiñ et l’Unité de programmes des télévisions locales de Bretagne.

Rendez-vous sur la chaîne vidéo des clichés bretons sur le site de BCD.

Episode 5 – La météo en Bretagne from BCD Sevenadurioù on Vimeo.

Une seule et même porte d’entrée pour 350 000 documents : www.bretania.fr

Donner à voir et à comprendre la Bretagne et son histoire, dans toute sa diversité : c’est là toute l’ambition de Bretania, le tout nouveau Portail des cultures de Bretagne (www.bretania.fr). Initié par la Région Bretagne et animé par l’association Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù, il a été lancé officiellement le 14 février à Lorient, en présence de Jean-Michel Le Boulanger, vice-président du Conseil régional à la culture, et Ronan Le Coadic, Président de BCD.

Véritable porte d’entrée ouvrant sur toutes les ressources culturelles et patrimoniales de la région, Bretania s’appuie à ce jour sur un réseau d’une dizaine de contributeurs (le CRBC, Cartolis, la Cinémathèque de Bretagne, Dastum, la Dépêche de Brest, l’INA Atlantique, le service de l’inventaire du Conseil régional, la bibliothèque numérique de l’Université de Rennes 2, la bibliothèque de Rennes Métropole, le KDSK). Partenaires du portail, ils ont réuni leurs fonds sonores ou visuels, collectés de longue date et déjà numérisés, pour mettre aujourd’hui à disposition du public un ensemble d’environ 350 000 documents numériques, enrichi de contenus éditoriaux.

Quels contenus ?

Depuis les enluminures du Moyen-Âge jusqu’aux articles de presse d’avant-guerre, en passant par les premières cartes postales du début du xxe siècle, la matière culturelle bretonne est immense. Bretania reflète cette richesse documentaire, proposée sous de multiples formes : sons, vidéos, images ou textes.

  • les archives du patrimoine oral, via l’association Dastum, offrent des ressources sonores et visuelles exceptionnelles, collectées depuis de longues années : chansons, musiques, contes, légendes, récits et témoignages ;
  • les inventaires patrimoniaux et architecturaux : le service de l’inventaire du Conseil régional y présente les notices réalisées sur le patrimoine bâti et le mobilier remarquable de Bretagne ;
  • les archives de la presse : la Dépêche de Brest, ancêtre du Télégramme, propose l’ensemble des articles publiés entre 1886 et 1944 ;
  • les archives audiovisuelles : la Cinémathèque de Bretagne mais aussi l’INA Atlantique constituent peu à peu la mémoire collective audiovisuelle de la région ;
  • les fonds d’iconographies, cartes, plans, manuscrits et autres livres rares : Cartolis, base de données du Cartopôle de Baud, propose par exemple 70 000 cartes postales anciennes de notre région.
  • Et aussi les bulletins des sociétés savantes, les fonds issus de la recherche universitaire (Rennes 2), les collections des musées, les Tablettes Rennaises de la bibliothèque numérique de Rennes Métropole, les fonds documentaires du KDSK et du centre de ressources bretonnes et celtiques (CRBC).

Un puissant moteur de recherche donnant accès à plusieurs bases de données

L’enjeu majeur de cette médiathèque du xxie siècle : permettre à tous de s’approprier ces éléments de la mémoire collective de Bretagne, pour mieux la comprendre, la transmettre et la réinventer.

Pour l’usager, il suffira de quelques clics et mots-clés sur www.bretania.fr pour accéder, via le moteur de recherche, à une matière jusqu’ici dispersée sur le Web au sein des bases de données des différents contributeurs.

Pour les partenaires qui, au fil de longues années de collectage et de numérisation, ont su conserver vivante la mémoire collective bretonne, le portail a l’avantage de mettre en avant leurs fonds tout en favorisant des visites plus approfondies sur leurs propres sites, que chacun continuera de gérer.

L’intérêt de Bretania est aussi d’avoir, en accord avec les contributeurs, enrichi les documents dits « primaires » de contenus éditoriaux (dossiers thématiques, frises, cartes, vidéos…) permettant au public de mieux décrypter les ressources mises à disposition. C’est là une part importante du travail de BCD.

Une médiathèque vivante et évolutive, appelée à s’enrichir

À l’avenir, pas question que Bretania en reste là : il s’agit d’un portail bien vivant qui sera complété, au fil du temps, de nouveaux apports et contributeurs, amenés progressivement à travailler en réseau.

L’équipe de Bretagne Culture Diversité/Sevenadurioù a aussi pour mission d’aller à la rencontre des détenteurs de données pour leur proposer un partenariat qui leur permettra de valoriser leur fonds, via le portail régional.

Parallèlement, BCD travaille à la diffusion du contenu du portail au sein d’autres sites, nationaux (Gallica) et internationaux (Européana), pour que cette matière bretonne circule librement sur la toile et dans le monde.

Devenir contributeur

Vous êtes une association, une structure publique ou privée détentrice de documents relatifs à la matière culturelle de Bretagne ?

Même si vos documents ne sont pas numérisés ou accessibles en ligne, l’équipe de Bretagne Culture Diversité étudiera avec vous les solutions pour mettre en valeur votre travail.

De nombreuses structures se sont déjà manifestées pour faire partie de ce projet ambitieux.

N’hésitez pas à nous contacter pour rejoindre le réseau des contributeurs !

Les résultats du sondage BCD en ligne

Bretagne Culture Diversité et l’Institut de sondage TMO ont réalisé un sondage sur la connaissance que les Bretons ont de la matière culturelle de Bretagne et sur la façon dont ils appréhendent la diversité culturelle. Les résultats de ce baromètre sont consultables en ligne sur le site de BCD.

1 003 personnes de 18 ans et plus ont été interrogées par téléphone entre les 9 et 17 décembre 2013 par la société TMO.

Renouvelé régulièrement, ce baromètre permettra de mesurer l’impact des actions de Bretagne Culture Diversité et l’évolution du contexte dans lequel elles se développent.

Les documents à télécharger :

[LA SYNTHÈSE DU BAROMÈTRE]

[LES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE TÉLÉPHONIQUE]

[DOSSIER DE PRÉSENTATION DE BCD]

À noter que la publication de ce sondage a suscité un vif intérêt auprès des journalistes et lecteurs de la presse régionale et nationale :

Le Nouvel Observateur [lire l’article]
Le Point [lire l’article]
– RTL [lire l’article]
Ouest-France [lire l’article]
L’Express [lire l’article]
Le Parisien [lire l’article]
– France 3 Bretagne [lire l’article]
– Et Le Télégramme (lecture de l’article réservée aux abonnés

APPEL A PROJETS EN SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES

Ouvert aux candidats au doctorat

Date d’ouverture : 28/01/2014

Date de clôture : 12/02/2014

L’association BRETAGNE CULTURE DIVERSITE souhaite soutenir des doctorants ou futurs doctorants dont les travaux portent sur les missions de l’association. Cette aide pourra intervenir en complément d’autres dispositifs (cofinancement de contrat doctoral, d’ARED, notamment).

L’aide apportée pourra s’élever à 7500 € par an et par personne pour une durée maximale de trois ans.

 

  • Présentation de l’association

L’article 3 des statuts de l’association définit ainsi son objet :

« L’association a pour objet de favoriser la promotion et la diffusion de la matière culturelle et des savoirs de Bretagne ainsi que de la diversité culturelle, à l’échelle des cinq départements de la Bretagne historique, notamment à partir des objectifs suivants :

réaliser un inventaire permanent du patrimoine culturel immatériel breton ;

mettre en œuvre un vaste plan de diffusion et de vulgarisation de la matière culturelle et des savoirs de Bretagne ;

favoriser l’accessibilité et la valorisation des contenus culturels et scientifiques relatifs à la Bretagne, en particulier par le biais des technologies de l’information et de la communication ;

promouvoir la diversité culturelle. »

 

  • Procédure de candidature

Les dossiers de candidature sont à envoyer à Bretagne Culture Diversité 3, boulevard Cosmao Dumanoir 56100 LORIENT. Ils seront examinés par le Conseil scientifique de l’association à partir du 13 février 2013.

Les dossiers devront obligatoirement contenir les éléments suivants :

– CV du doctorant (une page maximum)

– Présentation du ou des laboratoire(s) d’accueil (une page maximum)

– Fiche de projet à remplir [à télécharger ici]

– Liste des travaux et publications éventuelles (mémoires, publications, articles, etc.)

Contact : Charles QUIMBERT, 3 boulevard Cosmao Dumanoir 56100 LORIENT.

 

  • Critères d’éligibilité

– Pertinence et originalité du projet au regard des missions (cf. supra) de l’association ;

– Clarté des objectifs et du plan de travail ;

– Durée des travaux (engagement sur trois ans maximum) ;

– Liens avec l’équipe de recherche encadrant le chercheur.

Le documentaire « Quand le bilinguisme ouvre des portes » jeudi 30 janvier sur les télévisions locales !

La diffusion du film documentaire « Quand le bilinguisme ouvre des portes » est programmée le jeudi 30 janvier prochain à 20h45 simultanément sur TV Rennes, Tébéo et Tébésud. Il sera rediffusé plusieurs fois (voir sur les sites des Télévisions locales). BCD est partenaire des productions « Préparons demain » dans ce projet.

A ne pas manquer !

La bande annonce :

Le documentaire « Quand le bilinguisme ouvre des portes » est en vente !

Le film Quand le bilinguisme ouvre des portes, réalisé par Anne Jochum et coproduit par Bretagne Culture Diversité / Sevenadurioù avec les productions Préparons demain et en partenariat avec Div Yezh, est en vente. Vous pouvez vous le procurer auprès de BCD / Sevenadurioù au prix de 12 € (ajouter 7 € de frais de port) uniquement pour les particuliers, pour cela contactez-nous. Pour les associations ou structures, contactez les productions Préparons demain.

Qu’est-ce que le bilinguisme ? Aujourd’hui, alors que la moitié de la planète vit dans un univers bilingue (ou plurilingue), élever son enfant dans cette réalité pose toujours question. Comment partager une langue avec un enfant ? Comment l’enfant structure-t-il l’arrivée de ses 2 langues ? Peut-il y avoir confusion ? Pourquoi ne répond-il pas dans la langue utilisée dans la question ? Et à l’école, en classe bilingue, l’enfant peut-il se débrouiller si les parents ne parlent pas cette langue ? Pourquoi lui transmettre une langue dont il ne se servira peut-être pas au quotidien ? Y a-t-il des langues de coeur ?

Le psycholinguiste, François Grosjean, nous apporte une précieuse lumière sur les nombreuses interrogations qui entourent la réalité des familles bilingues. Ses interventions, alternées avec celles du sociologue Ronan Le Coadic et de parents avec des profils et origines variés (turque, malgache, bretonne, portugaise…) nous permettent de pouvoir comprendre un peu mieux comment l’enfant s’organise pour gérer si bien ces différentes informations.

Intervenants :

– François Grosjean, Professeur Emérite en Psycholinguisme, Université Neuchâtel
– Ronan Le Coadic, Sociologue, Professeur en Culture et Langue bretonne, Rennes 2
– Armelle Le Coz, Directrice d’école, breton/français, Plomeur
– Guillaume Morvan, Enseignant breton/français, Saint-Brieuc
– Yannig Robin, Puériculteur, à l’origine de Divskouarn

En bonus :

– interview autour des mythes du bilinguisme
– interview autour de l’approche 1 personne/1 langue
– interview sur les apports cognitifs reliés au bilinguisme
– « Remi, histoire d’un parent bretonnant »
– « Katell et Tangi, témoignage sur les grands-parents »
– « Katell et Tangi, témoignage sur la transmission aux enfants »

Connaissez-vous les Yuchi ?

Connaissez-vous les Yuchi, ce peuple amérindien qui vit aujourd’hui dans le nord-est de l’Oklahoma aux États-Unis ? Se désignant eux-mêmes comme « les enfants du soleil » (Tsoyaha), leur population était estimée en 2005 à environ 3 000 personnes.

Pour en savoir plus, consultez la page qui lui est consacrée dans la partie Diversité Culturelle : [Connaissez-vous les Yuchi ?]

Un flash mob à la sauce gavotte à Lannion

Un flash mob en breton était organisé le 23 novembre dernier à Lannion à l’initiative du collectif de soutien aux sans-papiers.

Près de 200 personnes se sont ainsi réunies en ronde pour chanter et danser une gavotte sur un texte composé par Claude Lintanf intitulé « Degemer mat er Republik », (Bienvenue en République). Ce texte invite la France, pays des droits de l’Homme, à se montrer plus accueillante envers les étrangers. L’action visait plus particulièrement à soutenir une famille albanaise qui réside à Lannion, menacée d’expulsion depuis le mois de juillet, et qui craint d’être victime de représailles si elle est expulsée vers son pays d’origine.

La vidéo réalisée sur place :