« Une histoire de Bretagne » : la nouvelle exposition itinérante de BCD
Une nouvelle exposition itinérante est désormais disponible, elle s’intéresse à l’histoire de Bretagne.
Composée de 22 panneaux, l’exposition s’organise autour de plusieurs thématiques : avant la Bretagne ; la mer ; la terre ; la Bretagne en ses frontières ; croire en (la) Bretagne ; la constitution des pouvoirs ; la contestation des pouvoirs ; la Bretagne contemporaine.
Jeu, cartes magnétiques, scénographie font de cette exposition un outil singulier pour appréhender une histoire de Bretagne…
L’exposition sera inaugurée à Rostrenen le vendredi 4 février prochain. Elle sera visible à la médiathèque de la commune jusqu’à fin mars. Si vous souhaitez réserver l’exposition, contactez Soizick Aubry.
Le cycle de la « Fabrik’ de l’authentik' » : les rendez-vous 2022
Nous vous donnons rendez-vous à partir du mardi 11 janvier 2022 pour la suite du cycle de conférences qui explore les enjeux de la fabrication de l’authenticité. Trois rendez-vous les 11 janvier, 9 février et 8 mars au plateau des quatre vents à Lorient à partir de 18h. GRATUIT !
>> Mercredi 9 février 2022 La lutte bretonne n’est plus ce qu’elle était ? Le concept d’authenticité par rapport à l’histoire, à l’identité, au paysage et aux relations sociales dans le gouren, « sport traditionnel » de Bretagne.
Le gouren est un style de lutte traditionnelle bretonne qui dans le dernier siècle a été transformé en sport compétitif, avec une fédération, des règles uniformes, des catégories de poids et d’âge, etc. Dans ce processus, il a quand même maintenu un lien fort avec ce que ses pratiquants appellent l’« esprit ancestrale » (c’est-à-dire authentique) de la pratique originaire. Cette « authenticité » est surtout définie aujourd’hui par son statut d’activité physique typiquement (authentiquement) « bretonne », c’est-à-dire représentative de la culture et de la tradition bretonnes ; et cette représentativité est définie à son tour par rapport aux traits culturels et aux valeurs qui ont été historiquement attribués aux concepts de « culture » et d’« identité » bretonnes (vus précisément comme des constructions historiques et sociales) et qui sont activement poursuivis et performés par les pratiquants de gouren. Parmi ces traits, une sociabilité moins égotique/hiérarchique et plus conviviale/inclusive, une attention à l’histoire, à la « tradition » et à leurs représentations comme sources d’identification collective, un rapport au paysage et à la nature comme fondement de cette histoire et de cette identité.
Le gouren continue donc à passionner parce qu’il constitue une activité capable de séduire un public contemporain intéressé par son côté sportif et compétitif mais, en même temps (et paradoxalement), parce qu’il s’oppose à la compétitivité et à l’individualisme de certains sports contemporains plus connus et médiatisés, en se proposant comme domaine de continuation des valeurs et des modèles de relations sociales plus historiques, plus traditionnels, plus humains – en un mot, plus authentiques.
Dario Nardini est chercheur attaché en Anthropologie Culturelle à l’Université de Pise, et Professeur contractuel à l’Université de Florence et de Milan-Bicocca. Il a publié une monographie et plusieurs articles sur le gouren (lutte Bretonne), sur le surf dans la Gold Coast Australienne, et sur le Calcio storico fiorentino. Ses travaux ont gagné des prix nationaux et internationaux (le plus récent, le prix Madella du Comité Olympique Italien pour la recherche sur le sport).
>> Mardi 8 mars 2022 Y a-t-il un matriarcat breton authentique ?
Parler de matriarcat est une spécificité bretonne. Nulle part ailleurs en France ce mot n’a cours. Objectivement, le patriarcat, qui est son opposé masculin, semble admis partout. On peut donc s’interroger sur cette étrangeté bretonne. Affirmer l’existence d’un matriarcat en Bretagne résiste-t-il à l’analyse ?
L’usage du terme est avéré. On connaît ses propagateurs et on peut dater son apparition dans l’Histoire. Mais la réalité ? Y a-t-il un legs historique particulier qui expliquerait la présence d’un système matriarcal breton ? Peut-on rassembler les preuves d’un authentique matriarcat en Bretagne ? Cette recherche de preuves semble vaine. À l’inverse, on ne peut nier la force de sa représentation : il n’y a pas de matriarcat breton mais le stéréotype, l’idée convenue, la croyance sont bel et bien ancrés dans la culture et les usages. Cette pratique langagière répandue aide-t-elle à penser la condition féminine en Bretagne ?
Anne Guillou est une sociologue et essayiste. Elle est docteure d’État de sociologie, auteure d’une thèse intitulée Les Femmes, la Terre, l’Argent (1987). Ses recherches ont notamment porté sur la sociologie rurale et, plus particulièrement, la sociologie des femmes et les rapports sociaux en milieu rural. Elle a été Professeure de Sociologie à Brest (UBO) de 1991 à 2003. Elle y a créé le département de Sociologie..
Toutes les conférences sont gratuites. Elles sont organisées au plateau des quatre vents à partir de 18h. Retransmission en direct via Zoom ou Facebook. Organisé avec l’aide de la Mairie de Lorient et en partenariat avec Emglev Bro an Oriant et Amzer Nevez.
Chaque année l’association Bretagne Culture Diversité soutien des doctorant-e-s ou futurs doctorant-e-s dont les travaux portent sur les missions de l’association. Cette aide intervient en complément d’autres dispositifs (cofinancement de contrat doctoral, d’ARED, notamment).
L’aide apportée s’élève à 5 000 € par an et par personne pour une durée maximale de trois ans.
L’appel à projets est publié une fois par an et l’association retient un.e seul.e candidat.e.
Présentation de l’association
L’article 3 des statuts de l’association définit ainsi son objet :
« L’association a pour objet de favoriser la promotion et la diffusion de la matière culturelle et des savoirs de Bretagne ainsi que de la diversité culturelle, à l’échelle des cinq départements de la Bretagne historique, notamment à partir des objectifs suivants :
Réaliser un inventaire permanent du patrimoine culturel immatériel breton ;
Mettre en œuvre un vaste plan de diffusion et de vulgarisation de la matière culturelle et des savoirs de Bretagne ;
Favoriser l’accessibilité et la valorisation des contenus culturels et scientifiques relatifs à la Bretagne, en particulier par le biais des technologies de l’information et de la communication ;
Les actes « Diversité et droits culturel.l.es » à consulter en PDF
Vous trouverez ci-dessous les actes des Rencontres de Nantes, Brest et Rennes (dans le cadre des rencontres & débats des Trans Musicales) ci-dessous dans l’attente de leur version papier.
Offre d’emploi : Responsable de la vulgarisation de la matière culturelle de Bretagne
Bretagne Culture Diversité est une association, dont le siège social est à Lorient, qui facilite l’accès à des ressources et des connaissances sur la Bretagne, ses cultures et sa diversité.
Elle crée et anime pour cela de multiples outils : sites internet (Bretania, Bécédia, Bed, PCI), films, applications mobiles (Breizhapp), webdocs, podcasts, expositions…
Au cœur d’un réseau d’acteurs culturels et d’associations, elle privilégie les moments d’échanges lors de formations, de journées d’étude, de colloques, d’entretiens, de rencontres informelles qu’elle met en place dans le cadre de ses différentes missions de vulgarisation, de diffusion, de valorisation et d’inventaire.
Missions :
Animation et secrétariat de rédaction du site Bécédia :
Susciter, coordonner et superviser la création d’articles et de dossiers thématiques sur la Bretagne (histoire, géographie, société, environnement, etc.) ;
Susciter, coordonner et superviser la réalisation de supports de vulgarisation divers (podcasts, vidéos, sites thématiques, webdocumentaires, expositions, etc.) ;
Organisation d’événements (conférences…) et participation à la mise en place de formations sur les thèmes de la matière culturelle de Bretagne et de la diversité culturelle.
Animation d’un réseau d’acteurs autour de la notion de « matière culturelle de Bretagne ».
Responsabilité :
Le salarié est directement placé sous la responsabilité du directeur. Il peut être amené à animer des réunions ou encadrer des formations.
Le poste est hébergé dans les locaux de Bretagne Culture Diversité à Lorient. Le salarié pourra être amené à se déplacer dans toute la Bretagne.
Profil :
Bac + 5 ou diplôme équivalent dans une discipline concernant la matière culturelle de Bretagne (histoire, géographie, ethnologie, sociologie…) ou la médiation (journalisme, documentation…) ;
Capacité attestée à la vulgarisation et à la médiation de la matière de Bretagne (expérience dans la réalisation d’articles de vulgarisation ou dans la médiation) ;
Très fort intérêt pour le territoire, la société, la culture et les langues de Bretagne ;
Avoir une bonne connaissance du breton et/ou du gallo écrit et parlé serait un plus ;
Bonne connaissance du monde universitaire et médiatique breton ;
Capacités rédactionnelles et orales ;
Capacités d’organisation et d’animation, esprit d’initiative, capacité à gérer l’imprévu ;
Ouverture d’esprit, transversalité et intérêt pour la diversité ;
Être à l’aise avec l’outil informatique (bureautique, internet…). La connaissance du codage (HTML, CSS…) serait un plus ;
Appétence pour les nouvelles méthodes de communication ou de médiation (open data, open content, datavisualisation…) ;
Aptitude au travail aussi bien en autonomie qu’en équipe.
Contrat :
Contrat à durée indéterminée, à temps plein ;
Remboursement des frais de déplacement ou voiture de service ;
Travail possible en week-end et en soirée ;
Salaire : à négocier, sur la base de la convention de l’animation groupe F, coefficient 350 ;
Tickets restaurant / mutuelle.
Recrutement :
Les candidatures, comportant une lettre de motivation et un CV, sont à envoyer avant le 9 janvier 2022 par mail à : contact@bcd.bzh
Date limite de soumission des candidatures : 9 janvier 2022.
Les entretiens de recrutement auront lieu le 17 janvier 2022.
PRÉSENTATION Comment éveiller à la matière culturelle de Bretagne, à la diversité culturelle ? Quels contenus mettre en avant quand on n’est pas soi-même spécialiste ou fin connaisseur d’un domaine particulier ? La broderie est un thème d’animation culturel riche et possédant de nombreux atouts pédagogiques. L’objectif est d’être en capacité de proposer à des enfants et des jeunes une approche culturelle en lien avec leur territoire. Il s’agit bien de pouvoir proposer à des enfants une sensibilisation, un « éveil à » et non une acquisition (type cours de broderie). Cet apport sera replacé dans le contexte de la diversité des expressions culturelles auxquelles toute personne est aujourd’hui confrontée.
CONTENU Contenu théorique : La broderie en Bretagne : un contexte, une transmission. Contenu technique : Comment mettre en place une animation autour de la découverte de la broderie pour les plus jeunes ? Contenu pédagogique : Retour d’expérience d’une intervenante, échanges et questions. Réflexions sur sa pratique et projection sur de futurs projets d’animation.
OBJECTIFS ET COMPÉTENCES PROFESSIONNELS VISÉS Première approche de l’animation autour de la broderie. Outiller les animateurs et animatrices pour animer une séance. Identifier les supports et ressources (associatives, personnes).
INTERVENANT·E·S Odile Le Goïc- Le Guyader : Broderie, stages, animations en milieu scolaire Nikolas Amaury : Salarié BCD, chargé de mission formation/animation
Un récent partenariat avec l’association régionale Familles rurales permet désormais à Bretagne Culture Diversité de diffuser son offre de formation à un plus large public. Il est également désormais possible pour les stagiaires de bénéficier d’une prise en charge par les OPCO (dans le cadre de la formation professionnelle continue).
Rencontres sur les droits culturels
Bretagne Culture Diversité et le laboratoire LIRIS de l’université Rennes2 organisent des rencontres sur les droits culturels le jeudi 2 décembre prochain à Rennes dans le cadre des Rencontres & Débats proposés par l’Association des Trans Musicales.
La diversité culturelle a ses droits qui assignent, entre autres, que « toute personne doit pouvoir participer à la vie culturelle de son choix et exercer ses propres pratiques culturelles, dans les limites qu’impose le respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales » (art.5 de la Déclaration universelle sur la diversité culturelle, 2001) ; ces droits culturels sont aujourd’hui inscrits dans la Loi relative à la Nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) et la Loi relative à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine (LCAP).
Poursuivant les réflexions lancées en 2019, sociologues et philosophes sont invités à faire part de leurs travaux et de leurs réflexions au gré d’une matinée de rencontres sur les droits culturels afin d’aborder ensemble cette problématique ô combien contemporaine.
Programme :
09h00 – 09h30 : Café d’accueil
09h30 – 10h00 : Discours d’ouverture
Un(e) représentant(e) des Trans’Musicales
Gaël HÉNAFF, codirecteur du laboratoire LiRIS
Tudi KERNALEGENN, directeur de BCD
Modération de la matinée : Sophie Le Coq, maîtresse de conférences, LiRIS, université Rennes2
10h00 – 11h00 : Présentation et mise en débat du rapport « Démocratisation, démocratie et droits culturels »
Cécile Offroy est sociologue, maîtresse de conférences associée à l’Université Paris 13, rattachée au laboratoire IRIS4. Elle collabore régulièrement avec Opale.
Réjane Sourisseau, maîtresse de conférences associée à l’Université de Lille3, collabore avec de nombreux partenaires (associations, réseaux, collectivités, fondations) pour réaliser des études, des publications et des formations. Elle est cofondatrice d’Opale où elle a été en poste jusque fin 2018.
11h00 – 12h30 : Dignité et éthique au cœur des droits culturels
Décryptage de la notion d’éthique, Éric Delassus (25 minutes)
Éric Delassus est professeur agrégé et docteur en philosophie. Il travaille principalement sur les questions d’éthique (éthique médicale, éthique managériale, éthique et nouvelles technologies) et les usages actuels de la philosophie de Spinoza.
Décryptage de la notion de dignité au regard des droits culturels, Luc Carton (25 minutes)
Luc Cartonest philosophe. De 2005 à 2019, il est directeur à l’Inspection générale de la Culture au ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Belgique francophone), où il assume notamment une mission générale relative au développement de l’évaluation des politiques publiques de la culture. À ce titre, il est l’un des acteurs ayant porté le nouveau décret sur les centres culturels, adopté en novembre 2013 et le décret modifié relatif au développement de l’action d’Éducation permanente dans le champ de la vie associative, en novembre 2018. Depuis mai 2019, Luc Carton est vice-président de l’Observatoire de la diversité et des droits culturels de Fribourg (Suisse) et chercheur associé auprès de l’Association Marcel Hicter pour la démocratie culturelle (Bruxelles).
-> Mise en débat des notions d’éthique et de dignité avec les quatre intervenants de la matinée. Échange avec le public.
L’architecture bretonne : une authenticité présumée, instrumentalisée, réinventée par Daniel Le Couédic
Existe-t-il une architecture bretonne authentique ? Telle est la question centrale de la prochaine conférence du cycle de La fabrik’ de l’authentik’ que BCD propose une fois par mois au plateau des quatre vents à Lorient. Prochain rendez-vous le mercredi 8 décembre à partir de 18h00 en compagne de Daniel Le Couédic, architecte DPLG et docteur d’État en histoire contemporaine.
Au XIXe siècle, de nombreux peuples en quête d’émancipation — finlandais, slovaque, catalan, etc. — se persuadèrent que l’architecture avait été un marqueur de leur particularité et se devait de le demeurer. Parvenue en Bretagne, notamment par l’entremise des expositions universelles, l’idée y trouva des renforts venus de l’extérieur, d’abord hédonistes, comme le tourisme, mais bientôt politiques. Pour contenir les pulsions identitaires, le pouvoir central en vint en effet à combattre les différences qui lui paraissaient dangereuses pour son intégrité, les langues au premier chef, et à promouvoir celles qui lui semblaient inoffensives : les danses, les costumes, etc. Le régionalisme architectural en bénéficia dans l’entre-deux-guerres ; plus tard, le néo-régionalisme serait même réglementairement imposé. Jugés inauthentiques, l’un et l’autre furent dénigrés par certains milieux militants misant a contrario sur la capacité de l’identité à se réinventer dans la modernité, de façon imprévisible. Olivier Mordrelle et Maurice Marchal partirent ainsi en croisade contre « la Bretagne au biniou » tenue pour une « sanglante ironie ». Après-guerre, les jeunes architectes épris de modernité accusèrent encore le propos. Mais démonter et dénoncer une stratégie retorse condamne-il à l’opprobre éternelle les édifices qui en portent la marque ? N’auraient-ils pas échappé à la malignité de leurs instigateurs pour devenir l’expression d’une estimable différence ? L’inscription ces dernières années de maisons régionalistes à l’inventaire des monuments historiques le suggère. De surcroît, après avoir connu le discrédit, le régionalisme est à nouveau promu, paré désormais des vertus d’une résistance à la mondialisation et d’une contribution au développement durable.
Soizick Aubry, responsable de la promotion, valorisation et diffusion des productions de BCD
Soizick Aubry est la nouvelle responsable de la promotion, valorisation et diffusion des productions de Bretagne Culture Diversité. Originaire de Saint-Brieuc, Soizick a passé une licence de sociologie qu’elle a suivie pour partie en Galice. Après un Master de breton elle a obtenu un master en humanité numérique à l’université Rennes2. Elle a intégré l’équipe de Bretagne Culture Diversité pleine d’enthousiasme ! Elle aura pour mission, entre autre, l’animation du blog du portail des cultures de Bretagne, la mise à jour de la nouvelle page Facebook de Bretania, la gestion des expositions… et bien d’autres missions. Bienvenue à elle !
Soizick Aubry a zo nevez deuet e-touez skipailh Bretagne Culture Diversité. E-karg brudañ ha skignañ binviji savet gant Bretagne Culture Diversité eo. Deus Sant-Brieg eo a orin. Tremenet he deus darn eus hec’h aotreegezh sokiologiezh e bro Galisia. Da heul ur master brezhoneg he deus paket ur master denezegezh niverel e skol-veur Roazhon2. Kroget he deus gant al labour mennet-tre ! E-touez he c’hefridi he devo da vouetañ blog porched sevenadurioù Breizh, lakaat keleier war bajenn Facebook Bretania, merañ an diskouezadegoù… ha kalz traoù all. Degemer mat dezhi !
La publication des « Âges d’or de la Bretagne » disponible
Nous avons le plaisir de vous annoncer la publication du quatrième volume de la collection BRUG Les Âges d’or de la Bretagne.
Bretagne Culture Diversité a proposé en partenariat avec Skol an Emsav un cycle de conférences sur Les âges d’or de la Bretagne. Celui-ci s’est déroulé à Rennes, le jeudi soir une fois par mois, d’octobre 2019 à juin 2020. Ouvert à tous, amateurs d’histoire et/ou apprenants en langue bretonne, nous avons souhaité partager des savoirs par l’intermédiaire d’une réflexion que nous avons voulue originale. Vous retrouverez dans cet ouvrage l’ensemble des interventions.
Pour commander le livre, adressez vous à contact@bcd.bzh ou passez-nous un coup de fil au 02 97 35 48 77.
La liste des communications :
Préface de l’ouvrage par Charles Quimbert
Les « âges d’or » de la Bretagne comme objet d’histoire par Erwan Le Gall
Le mégalithique : un âge d’or de la Bretagne ? par Yannick Lecerf
Un âge d’or capétien ? La Bretagne du XIIIe siècle par Vincent Launay
Les Lumières, âge d’or des chanoines bretons ? Par Olivier Charles
Le XVIIIe siècle, âge d’or du commerce alimentaire en Bretagne ? Par Sklaerenn Scuiller
Le comice agricole : un âge d’or de la puissance politique des campagnes bretonne ? Par Yann Lagadec
Les Américains en Bretagne (1917-1919) : un âge d’or manqué ? par Erwan Le Gall
1973-2004 : un « âge d’or » de la gauche en Bretagne ? par Jean-Jacques Monnier
Conclusion par Erwan Le Gall
Collection BRUG ISBN 978-2-9548513-3-4 Format : 140×205 mm Prix public : 15 € 360 pages (couleur) Ouvrage collectif sous la direction d’Erwan Le Gall
Pour commander le livre, adressez vous à contact@bcd.bzh ou passez-nous un coup de fil au 02 97 35 48 77.