La rencontre avec l’autre nous déstabilise. L’altérité peut être niée, en effaçant toute différence, en essayant de rendre l’autre pareil à soi. Elle peut aussi être rejetée ou stigmatisée.
Diaes e vezer lakaet gant an allded, ken gwazh a-wechoù ken e reer evel pa ne vije ket anezhi, oc’h ober van eus kement kemm, o klask livañ egile a-liv ganeomp hon-unan. Ken e vager dispriz ha kas outi zoken.
Cant on couéze un horvenu, ça nous detourbe. Le horvenu peut étr deqenû, son etranjetë efacée, par avair etë rendu come tai e mai. I peut etout y’étr rejetë ou nâchardë.
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