Le gui est associé aux druides dans la mémoire collective, en témoignent les nombreuses gravures représentant des scènes de cueillette.
Le rite décrit par Pline, (Histoire Naturelle, XVI, 249-251), à défaut de connaître véritablement le fonctionnement du druidisme, a été présenté comme un moment essentiel de l’activité druidique puis remis en question par la critique moderne.
Il semble cependant que le gui ait eu un rôle symbolique non négligeable. En témoigne la statue du Prince de Glauberg trouvée sur une tombe princière en Allemagne. Elle représente un homme doté d'excroissances de part et d'autre de la tête évoquant une feuille de gui.